Volant dans le firmament de mes rêves,
Survolant tous ceux qui pleurent leur chair,
Annonçant la fin à ceux qui se lèvent,
Accusant les Hommes de détruire leur terre;
Je ris, Je ris
Nuisant à tout ce qui n'est que plus loin,
Je m'emporte là ou le vent me mène,
Me moquant de tous ceux qui sont sereins
Et bénissant ceux qui créent la haine;
Je ris, Je ris
Je ris de tous ceux qui ne sont plus,
Je ris, je ris car je suis une âme perdue...